Pas vraiment de très bon goût, mais tout de même savoureuse, cette jolie décoration plafonnesque dans une salle réservée aux fumeurs (comme quoi, certains employeurs savent faire preuve d'humour !).
Merci ma belle Eve !
Pas vraiment de très bon goût, mais tout de même savoureuse, cette jolie décoration plafonnesque dans une salle réservée aux fumeurs (comme quoi, certains employeurs savent faire preuve d'humour !).
Merci ma belle Eve !
Mamie Rose, c'est la maman de Papy Guy ("Piguy" dit amoureusement Amélien). Papy Guy, c'est le papa de Superpapa. Ce qui fait que Mamie Rose, c'est la grand-mère de Superpapa, et l'arrière-grand-mère des Superzenfants. Mamie Rose est née en Tchékoslovaquie, et pendant la deuxième Guerre, elle a rencontré papy Doudou (le grand-père de Superpapa) à l'époque "en villégiature" dans un sympathique camp de travail. Ils sont tombés amoureux, et hop, il l'a ramenée en France une fois son "séjour" terminé. Mamie Rose a encore plein de famille en république Tchèque, qui débarquent régulièrement pour un mini-séjour en France. Et c'est alors l'occasion de l'entendre parler dans sa langue natale, même que assez rapidement, elle ne parle plus du tout français, même quand elle s'adresse à nous ! Mais on lui fait un clin d'oeil, et elle nous retraduit tout en français, avec son délicieux accent à la Popek. Elle sait même chanter des comptines en tchèque à ses arrière-petits-enfants, qui l'adorent. Mamie Rose est une fine cuisinière, qui nous gave de succulents repas et autres friandises caloriques dès qu'on met le pied dans sa maison de Verdun. C'est la spécialiste de "J'ai rien prévu en entrée" au moment de passer à table, et hop je vous sors 7-8 entrées différentes de derrière les fagots. Elle nous fait de la goulache, des knedels (ou knoedels), et parfois des repas plus classiques mais toujours délicieux. Inutile de dire qu'un week-end à Verdun, c'est 1 kilo sur chaque fesse, au minimum ! Mamie Rose, c'est la mamie rêvée, tout simplement. On l'aime très fort. :0091: |
Ce week-end, le blog des Superzhéros se repAUse ...
On vous laisse avec notre star locale : Amélien qui, pour faire la sieste, ne quitte ni son doudou crasseux, ni ses lunettes de soleil ! La classe non ?
Bon week-end à tous !
Dernier volet de cette semaine consacrée à la lessive sous toutes ses formes, voici un moyen naturel de laver le linge : l’utilisation des saponines, et plus précisément des NOIX DE LAVAGE.
Les saponines sont des tensioactifs (ou détergents) naturels, que l’on peut trouver dans beaucoup de plantes, et particulièrement dans les fruit d’un arbre appelé sapindus : ce sont les fameuses noix de lavage (voir sur Ekopedia ou chez Raffa un article archi-complet ). J’ai pas mal hésité avant d'essayer ces étranges noix. Je me suis fait la main sur la lessive au savon de Marseille, puis me suis procuré un échantillon de noix pour essayer. Je ne voyais même pas quel aspect ça pouvait avoir … Alors : ça mesure environ 1-1,5 cm de diamètre, c’est creux, marron, et ça sent assez bizarre (pas mauvais, mais inhabituel plutôt). Dès la première utilisation, j’ai trouvé ça aussi facile, voir plus, que la lessive au savon de Marseille (pas de copeaux à raper, ou à fondre). Le linge ressort propre, sans aucune odeur, et surtout très doux. J’ai donc acheté mon kilo assez rapidement (un sac en tissu plein de noix, payé 14 € dans un biocoop de Bretagne). Et depuis, je termine doucement mon stock de savon de Marseille pour le blanc, et je lave mon linge de couleur avec les noix (il paraît qu’elles respectent particulièrement les couleurs).
Concernant l’utilisation : Il faut de 4 à 8 demi-coques par machine (du coup j’en mets 6), et comme je lave à 40°, je peux les réutiliser jusqu'à 3 fois. Pour tester s'il reste de la saponine dans les noix, il suffit d’observer leur aspect : si l'intérieur de la coquille est encore brillant, la noix contient encore de la saponine. Si l’intérieur est devenu terne ou blanchâtre, elle n'en contient plus. Dans ce cas, je mets les noix de côté dans une boite ouverte, en attendant de les utiliser autrement. Et oui, c'est encore un autre point fort : après avoir utilisé les noix pour la lessive, il leur reste encore suffisamment de saponine pour en faire une décoction (j’ai déjà fait un shampoing pour mon chaton à l’époque infesté de puces). Et même après, vous pouvez jeter les coquilles dans votre compost, elles serviront à enrichir votre jardin. Pas mal non ? (je suis sûre que Tontonfoi va essayer ) Pour la lessive, je glisse donc mes demi-noix dans un sachet en coton (une chaussette nouée fait aussi l’affaire), à mettre directement dans le tambour de la machine. La saponine contenue dans les noix ne se libère que dans l’eau chaude, donc pas au moment du rinçage. Ces noix permettent de diminuer de façon très importante le prix d’une lessive (un sachet de 1 kilo permet de faire un an de lessives pour un ménage de 3 personnes – sans compter les produits à ajouter à ce « tensio-actif naturel »).
Evidemment dans tous les biocoop, les salons bio, mais aussi sur Internet. Il faut compter autour de 15 € le kilo. Dernier conseil : si l’aventure vous tente, n’hésitez pas à investir dans un « kit d’essai » désormais proposé dans de nombreux magasins bio (moins de 1 €). Ce serait dommage de dépenser 15 € et de finalement décider d’abandonner. Restons réaliste : nombreuses sont les personnes que l’utilisation de ces produits au nom barbare découragera ou rebutera. Dans les faits, ça doit prendre à peine 30 secondes de plus, le temps de glisser 6 noix dans un sachet, et de mettre les cristaux de soude au fonds du tambour. Mais bon, à l’impossible nul n’est tenu .
-> Je trie mon linge et asperge au besoin les taches tenaces avec mon détachant au savon noir. (pour plus de détails, se référer au volet précédent sur la lessive). Si vous faites votre lessive en suivant tous ces conseils, votre linge ressortira tout à fait propre. Pour certaines taches tenaces, n’oubliez pas d’utiliser un détachant.
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Sur ce blog, on vous a aussi parlé lessive ici :
La lessive (3) : crasse-tests (jeudi 2 novembre 2006)
La lessive (2) : mode d'emploi de la lessive au savon de Marseille (mercredi 1er novembre 2006)
La lessive (1) : généralités sur la composition des lessives classiques (lundi 30 octobre 2006)
Les détachants naturels pour le linge (mardi 29 août 2006)
Les balles de lavage (mercredi 11 janvier 2006)
Les CRASSE-TESTS !
En avril dernier (je devais vraiment m'ennuyer ... ), j'ai décidé de tester les différentes lessives qui s'offraient à moi. Je précise que j'ai une formation scientifique, avant d'être devenue littéraire. Par ailleurs, le fait de souvent choisir des moyens alternatifs de résoudre les questions du quotidien ne m'empèche pas d'être pragmatique, et d'appuyer mes décisions sur des faits établis. Changer de lessive oui, mais je voulais tout de même voir ce que ça donnait sur un certain nombre de taches, en particulier concernant les étranges noix de lavage.
D'une certaine façon, j'ai fait de même pour les cosmétiques faits-maison : si je n'avais pas eu la certitude qu'ils remplaçaient parfaitement mes anciens produits du commerce, et me permettaient même d'améliorer mon quotidien, je ne me serais pas obstinée. Mais je suis quelqu'un de tétu, et quand je décide quelque chose, j'ai tendance à foncer tête baissée ... au risque d'un certain ridicule (Superpapa s'est bien fichu de moi sur ce coup là !).
Donc, voilà ce que ça a donné : J'ai pris dans mon tiroir à chiffons un vieux torchon de coton, que j'ai découpé en 6 morceaux. Je me suis ensuite amusée à tracer au stylo bic des ronds, en notant en dessous ce qu'il y aurait dedans, et à indiquer sur chaque bout comment il serait lavé. J'avais donc réfléchi au préalable à quelles taches, et à quels modes de lavage.
J'ai ensuite utilisé les réserves de mon garde-manger pour appliquer dans chaque rond de chaque morceau de torchon une jolie tache de vin / sauce tomate / framboise / huile / carotte / chocolat.
Puis j'ai profité de mes nombreuses lessives hebdomadaires pour glisser un bout de torchon-crasse-test dans le tambour de ma machine, en variant à chaque fois le produit de lavage utilisé :
J'ai compilé les résultats dans ce petit tableau, en indiquant la qualité du lavage, sur une échelle de 1 à 5, où 1 lave le mieux, et 5 lave le moins bien.
1 -> 5 = lave le mieux -> lave le moins bien
Quelques remarques sur ces tests : je les ai pratiqués sur un vieux torchon, en coton assez épais. Sur un tissu synthétique, ça aurait sans doute donné des résultats différents. Je n’ai fait qu’un lavage pour chaque lot de taches, un vrai scientifique aurait multiplié les tests, et fait une moyenne des résultats. Autre précision : le lessive Le Chat paillettes contient 30% de savon, donc 70% d'autre chose non indiquée : d'une certaine façon, elle est à classer du côté de la lessive chimique.
Enfin, à l’époque, j’utilisais le savon au fiel de bœuf pour détacher, aujourd’hui, je préfère le savon noir dilué. Et pour cause : les tests avec le savon au fiel de bœuf ne m'ont pas parus hyper concluants. Ils améliorent le lavage du vin rouge, mais les résultats sur les autres taches, en particulier sur le chocolat, ne sont pas terribles. Globalement, je retiens que : - Tous les produits viennent à bout de la tomate et de l'huile. - Ma lessive classique et polluante était plus efficace sur la plupart des taches (sauf la carotte). - Quitte à choisir une lessive écolo, les noix sont les plus convaincantes.
C'est important de le dire sans langue de bois : évidemment qu'une lessive chimique avec plein de mollécules diverses a plus de chance de venir à bout des taches. Mais en même temps, on n'a pas forcément besoin de décaper systématiquement son linge, et surtout, l'avantage économique/écologique/santé mérite largement d'accepter une petite baisse de performance. Il faut le vouloir, et le choisir.
Le matin, mes enfants partent à l'école avec des vêtements propres, qui ne sentent rien de spécial. Certaines taches plus tenaces nécessitent une certaine vigilance : j'ai mis mon détachant au savon noir dans la salle de bain près de ma panière de linge sale, et quand les enfants ont entassé leurs vêtements du jour, j'asperge les taches éventuelles avant de mettre les habits au sale. Comme ça, au moment de faire la lessive, plus besoin de scruter chaque vêtement. Par ailleurs, je n'oublie pas d'ajouter à mon agent lavant les cristaux de soude, et le bicarbonate/percarbonate, qui permettront au linge d'être correctement nettoyé (voir article d'hier). Ces fameuses noix justement, qui sont -elles ? Vous le saurez vendredi.
Et comme toujours, pour les allergiques à la lessive, notre rubrique PLAY THE GAAAAAAAAME !!! vous tend les bras ! |
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La lessive (2) : mode d'emploi de la lessive au savon de Marseille (mercredi 1er novembre 2006)
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Les balles de lavage (mercredi 11 janvier 2006)
Après la composition des lessives, voici la recette-maison au savon de Marseille, et le déroulement des opérations ...
En bref, j'ai décidé de changer de lessive pour plusieurs raisons :
La recette :
Première solution la plus simple (pour Marietoune ) : ne pas faire de lessive liquide au savon de Marseille ! Dans ce cas, raper un savon de bonne qualité, et utiliser directement les copeaux dans le tambour de la machine, à raison de 50 ml par lessive, ou 2/3 poignées (à adapter en fonction de la saleté du linge, et de la dureté de l'eau). Le principal inconvénient, les copeaux ont parfois tendance à mal se dissoudre, et à rester collés au linge. Le gros avantage : ne pas avoir à suivre la recette qui suit !
Voilà la recette de lessive au savon de Marseille que l’on trouve un peu partout sur le net (entre autres, plein d'infos ici ) :
Faire bouillir l’eau, et mettre les copeaux de savon. Bien remuer, voire mixer le mélange (comme une soupe). Laisser refroidir, ajouter l’huile essentielle de Tea tree (facultatif) et verser dans un bidon de lessive ou d’adoucissant récupéré. Selon la qualité de votre savon, cette lessive sera plus ou moins épaisse en refroidissant, voire même se solidifiera un peu. Si la consistance est trop solide, vous allez galérer pour l’extraire du bidon. Dans ce cas, choisissez plutôt un petit seau de la même contenance, avec un couvercle, et prélevez une louche de lessive à mettre dans le tambour de la machine.
Ce qu’il vous faut en plus : (n’oubliez pas que le savon de Marseille est l’agent lavant, et qu’il ne pourra, seul, donner des résultats impeccables)
Et ne me dites pas que c'est compliqué : je suis certaine que vous mettez déjà de la lessive / de l'adoucissant / du détachant / eventuellement de l'anti-calcaire / ... A la place, procurez-vous ça :
Déroulement des opérations : (quand je dis JE, ça comprend Superpapa qui est devenu, au fil des années, le roi de la lessive, et du repassage -- j'en profite pour lancer un message subliminal : :0016: "chéri, la panière est pleine ! " --)
Donc :
-> Je trie mon linge et asperge au besoin les taches tenaces avec mon détachant au savon noir. -> Je secoue mon bidon de lessive avant chaque usage pour ré-homogénéiser le mélange. -> Je mets un bouchon (j’ai trouvé un vieux bouchon d’une bombe aérosol genre Pliz pour les meubles en bois) de cristaux de soude au fonds de mon tambour, où attendent sagement mes balles de lavage. Grosso-modo deux petites poignées, à adapter en fonction de la dureté de votre eau (soit environ 50 ml mesuré dans un petit biberon de récup par exemple). -> Je mets mon linge par-dessus. -> Je mets un verre à moutarde de ma lessive liquide au savon de Marseille (sinon, 2/3 poignées de copeaux rapés). -> J’ajoute pour du linge de couleur deux cuillères à soupe de bicarbonate de soude, et pour du linge blanc 1 cuillère à soupe de percarbonate de soude. -> Je mets un verre à moutarde de vinaigre blanc (additionné d’HE si je veux le parfumer, 15-20 gouttes) dans le compartiment à adoucissant. -> Je lance ma machine à 40°.
Et voilà, c'est fait, la lessive fait-maison est en train de tourner, sous vos yeux ébahis ...
Deux petites astuces :
Et en fin de semaine, vous allez découvrir ce que sont les noix de lavage, et comment les utiliser.
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La lessive (1) : généralités sur la composition des lessives classiques (lundi 30 octobre 2006)
Les détachants naturels pour le linge (mardi 29 août 2006)
Les balles de lavage (mercredi 11 janvier 2006)
Rigolo : la parution de cet article s'est déclenchée intempestivement hier matin (peut-être certains lève-tôt l'ont-ils vu). Je n'avais prévu de le poster qu'en cas de fatigue ou pénurie d'idée pour le blog, alors je l'ai enlevé dès que je m'en suis rendu compte.
Et puis dans la journée, j'apprends que Sorj Chalandon, l'auteur dont je parle plus bas, a eu le prix Médicis pour son dernier livre (celui qui a suivi Le petit Bonzi) : Une promesse.
Du coup, je me dis que c'est le destin, et je vous le reposte aujourd'hui.
Mais nayez crainte, je recommencerai à parler lessive dès demain ...
Le Petit Bonzi est un témoignage poignant sur l'enfance d’un petit garçon de 12 ans, Jacques Rougeron, à Lyon, dans les années 60. L’auteur nous parle d'un âge où les frontières entre l'imaginaire et la vie sont encore floues. Le jeune héros est bègue, et il a l’espoir fou de guérir en absorbant des sortes de potions magiques concoctées à l’aide feuilles et d’herbes ramassées ici et là. Dans son univers monotone, articulé autour ses parents et de son école, deux personnages éclairent son parcours : un professeur qui allie autorité et amour, et surtout Bonzi, l’ami, le presque frère, l’ombre de chaque jour. Il y a quelque chose d'émouvant dans ce récit, comme une douleur solitaire et désespérée. Dans cette sombre révolte d’enfance, l'enfant cherche la chaleur humaine, même au prix de l’invention, du rêve ou du mensonge. Un récit plein d’humanité et de tendresse.
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Le petit Bonzi Auteur : Sorj CHALANDON Editeur : GRASSET (2006) Thème(s) : enfance ; amitié ; famille ; école ; handicap ; monde imaginaire |
Jacques Rougeron a douze ans. Il est bègue. Il voudrait parler aussi vite, aussi bien que les autres. Mais Jacques ne peut que regarder les mots sans parvenir à se les approprier. Heureusement, son ami Bonzi le soutient, et lui dit qu'une herbe magique existe, qui peut le soigner de son mal. Et un soir d'automne, au pied de son immeuble, il croit avoir enfin trouvé le moyen de guérir ... |
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Bon, ça fait 3 fois en 3 jours qu’on me demande comment je fais ma lessive, alors cette fois-ci, je prends le temps de donner par écrit quelques explications !
Et je déclare ouverte la "grande semaine de la lessive" …
Ce que j’en ai retenu : les lessives soient-disant « vertes » n’ont pas vraiment l’air de l’être (), et les noix de lavage ne les ont pas convaincus.
Pour ceux qui ne savent pas ce que sont ces noix, je vais l’expliquer en fin de semaine.
Et pourquoi c’est pas suffisant ?
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’on ne peut pas remplacer une lessive classique uniquement pas un agent lavant = tensioactif (savon de Marseille, noix de lavage, …). Car votre lessive classique contient en moyenne seulement 15 % de ces agents lavant (tensioactif, ou détergent). En effet, dans la lessive du commerce, en plus de ces tensioactifs qui nettoient, il y a des antirouilles, des enzymes, des agents de blanchiment, des colorants, des parfums, des conservateurs, … Hallucinant non ? N’hésitez pas à aller voir la composition de votre paquet de lessive. Vous y trouverez une formule du genre « Tensioactif xxx (encore appellé agent non-ionique, ou agent anionique) < 15 % » et « Azurant optique – Parfum - Enzymes - … > 15 % » . Alors forcément, 15% de produit qui nettoie, pour 85% de produit qui fait autre chose, faut pas être énarque pour en conclure que quand on fait sa propre lessive, on ne peut pas la remplacer par du savon de Marseille seul, ou des pauvres petites noix de lavage (d’où mes réserves sur les tests de 60 millions de consommateurs) !
Si la composition des produits d’entretien vous intéresse, vous pouvez aller lire les explications de Raffa sur le sujet ( http://raffa.over-blog.com/article-499752-6.html ).
Demain, je vous donne une recette de lessive au savon de Marseille (c’est pas moi qui l’ai inventée hein, je vais juste vous la faire passer avec quelques explications sur le mode d’emploi).
Mercredi, vous aurez droit aux résultats de mes CRASSE-TESTS effectués en avril.
Et en fin de semaine, vous allez découvrir ce que sont les noix de lavage, et comment les utiliser.
Et pour ceux (que j'imagine nombreux ) que cette magnifique "semaine propreté" gave particulièrement, allez vite vous faire du bien en farfouillant dans notre rubrique PLAY THE GAAAAAAAAME !!! ! |
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Les détachants naturels pour le linge (mardi 29 août 2006)
La lessive - les balles de lavage (mercredi 11 janvier 2006)
Hier soir, Supermama et Superpapa ont vu : de Stephen FREARS
xoxoxoxoxox Revue de presse :
L'année dernière, Supermama avait aussi beaucoup aimé du même réalisateur "Madame henderson présente" ... |
Oui, parce que là, j'hésite entre un "MAIS TU ES FOLLE !!!" (à hurler en secouant la tête), et "OH MERCIMERCIMERCIMERCIMERCI, TU ES UN AMOUR !!!" (à hurler aussi mais en sautant dans tous les sens)... Ben voui, parce que la Miss Val, célèbre frabricationneuse de superbes savons qui me faisaient baver d'envie depuis un moment, m'a envoyé un énorme colis, arrivé pile poil quand je commençais à oublier mon anniversaire ... Quand j'ai vu le paquet, j'ai halluciné (il était super lourd), et quand je l'ai ouvert ... Chuis archi super gênée, mais archi super contente surtout, alors ça équilibre LOL ! J'vous parle même pas du packaging trop classe, avec des pots superbes, des étiquettes qui donnent envie de manger les savons, et plein de produits que je vais essayer dès ce soir. En voici les détails : - un macérat huileux de fleurs de jasmin (ça veut dire que les fleurs ont macéré dans une huile qui en a pris la délicieuse odeur et toutes les qualités) - des fleurs de lavande du jardin (avec un pot super chiadé ...) - des pétales de roses du jardin, broyées et prêtes à servir à exfolier mon minoi (vous imaginez même pas comment elles peuvent sentir bon, hallucinant) - des sels de bain de la mort qui tue : avec des pétales de rose, des fleurs de souci (autrement nommées calendula), des huiles essentielles ... Après ça, j'ai prévu la danse des 7 voiles pour mon homme ! - un déodorant maison que je vais m'empresser de tester, ça tombe bien, le mien était terminé ! - des savons en veux-tu en voilà : ils sont beaux, variés (lait de brebis, argile rouge, beurre de karité, ...), et même un qui a une jolie forme de nounours, et que les enfants ont déjà prévu de me piquer ! Pfffff, impressionnant non ? Alors VAL, je t'embrasse super fort, et je t'adresse mille mercis ! Tu m'as vraiment fait très plaisir, et tu es super super douée (parce que c'est elle qui fait ses savons, à l'ancienne !). Plein de ! |